Jardin parfait

Le jardin parfait ne peut se séparer de sa montagne.

Vivre dans un village à la nature idéale

Introduction :

Il y’a 5 types de village :

   au milieu des champs
   au milieu de la prairie
   au milieu de la forêt
   au milieu de la montagne
   ou le mélange d’un peu tout ça

Que l’on habite en plaine ou en montagne, avoir de belles promenades à faire autour de sa maison est agréable  mais tous les villages n’ont pas la chance d’être entourés d’une belle nature surtout dans les grandes régions agricoles céréalières mais il faut bien nous nourrir.
Chacun de nous  avons le pouvoir d’améliorer notre environnement

Sommaire :

Agir pour un bel environnement

Les arbres 
Les ronces  
Les plantes exotiques et  les plantes  sauvages

   L’eau : les rivières et ruisseaux
      Les inondations 
      Des berges naturelles 
      Etangs et mares

Les rochers
Le cas des petites vallées creusées dans la montagne
Les terrains privés le long des rivières et ruisseaux 
L’environnement sonore
Les déchets
Les gravats 

La nature idéale

Agir pour un bel environnement

Les arbres 

Chaque village en France devrait avoir son arbre ancestral de plusieurs centaines d’années.
J’invite tout le monde à regarder autour de chez soi et voir si ils ont un ou plusieurs arbres qu’ils voudraient laisser vivre le plus longtemps possible.
Si on pouvait avoir 1% des arbres qu’on interdit de couper, on s’arrêterait en forêt plus souvent pour les admirer.
On devrait faire un concours sans fin, à ceux qui possèdent  le plus bel arbre ou le plus âgé, notre pays s’en trouverait plus beau.
Si il n’y a pas d’arbres remarquable, organisez-vous pour sélectionner les arbres remarquables de demain.
On peut ainsi en planter des  nouveaux et faire la promesse qu’on ne les coupera pas.

Par exemple on peut planter un épicéa :
Il est préférable au sapin car plus beau et il laisse ses pommes de pins tomber au sol, ce qui n’est pas le cas du sapin.
Le cas de l’arbre à monter :
Il doit être planté au milieu d’un près pour ne pas manquer de lumière.
Il faudra impérativement ne couper aucune branche,  toutes les branches toucheront le sol, au bout de quelques dizaines d’années, on coupera les branches mortes naturellement à proximité du tronc pour pouvoir escalader l’arbre toujours plus haut au fur et à mesure de l’avancée en âge de l’arbre.
Ne serait-il pas plaisant pour vos enfants et aussi les adultes de grimper dans un gros joli épicéa, il n’ya pas d’âge pour grimper dans les arbres.
On doit protéger les sujets les plus âgés de toutes les espèces d’arbres et arbustes, les plus grands, les plus gros ou autres formes particulières de chênes, hêtres, épicéas, tilleuls, saules, charmes, aulnes,  noisetiers, néfliers…
Il arrive qu’un arbre multi centenaire meurt mais la mort d’un arbre n’est pas la mort de sa beauté, il sera toujours utile pour les oiseaux, pics et son imposant tronc sera visible encore de nombreuses années.
Il est donc important de ne pas le couper comme cela à déjà été le cas, s’il comporte un risque de chute sur des passants, il faut privilégier un élagage des branches au lieu de la destruction totale.
Un arbre peut aussi tomber au dessus d’un ruisseau, si il est très beau ou gros, il faut le laisser.
La présence d’arbres à fleurs est  aussi très bien pour embellir un paysage.
Les arbres fruitiers sont un élément indispensable à la diversité de notre cadre de vie.

Il faut aussi arrêter d’attacher des clôtures aux arbres car ils se retrouvent coincés dedans.
Prenez votre courage à deux mains et planter des piquets en bois de préférence ou en acier.

Des gens mettent des chevaux pour empêcher la forêt de se refermer sur le village.
Quand les chevaux partent, l’herbe étant à ras du sol ou parfois dénudée, les graines des arbres qui tombaient avant dans l’herbe ne prenaient pas racine mais depuis les chevaux, ces graines s’enracinent facilement donnant lieu à pleins de nouvelles pousses, donc mettre des chevaux n’est pas la solution, la chèvre semble plus approprié selon moi.

Les arguments ridicules des bûcherons :
Il faut couper les vieux arbres car il faut laisser la place aux jeunes et car les vieux arbres stockent moins de carbone.
Il commence à pourrir de l'intérieur. On entretient la forêt.
La planète terre s'auto régule toute seule, si le carbone augmente dans l'atmosphère les forêts pousseront plus vite.
Le problème n'est pas le carbone, c'est la pollution.
Les arbres qui pourrissent de l'intérieur ne les font pas toujours mourir parce qu'ils y a des arbres millénaires creux où l'on peut rentrer à l'intérieur.
En plus une forêt avec des vieux arbres est beaucoup plus belle, mais non il veut construire ses meubles et ses poutres, tu n'a qu' a utiliser des poutres plus petites et les emboiter ensemble.
Le bûcheron entretient la mocheté de la forêt.
Dèjà, à plus de 100 habitants au km2 dans un pays, on devrait faire une loi pour empêcher que la population augmente et détruise la beauté de notre pays.

Les ronces

La première plante qui fait concurrence à la ronce est le framboisier, c'est pour cela qu'on devrait faire la politique du framboisier pour faire en sorte qu'il y ait plus de framboisiers que de ronces.
Dans certaines régions, la ronce peut être un véritable fléau, donnant l’aspect d’une triste friche impénétrable, il est important de pouvoir la contrôler.
Elle pousse essentiellement entre la prairie et la forêt, si on la laisse prendre trop de place, cela va devenir tellement envahissant qu’on aura perdu le courage de l’enlever, c’est pour cela qu’il ne faut pas attendre trop longtemps.
De plus la ronce trop nombreuse prend la place de toutes les autres plantes et contribue à appauvrir la diversité naturelle.
Certains me diront, c’est grâce aux ronces que je mange mes mûres, d’accord, c’est pour cela qu’on peut en garder un peu sur des coins stratégiques qui ne menace pas d’envahir.
Le meilleur moyen de les enlever est de les enlever à la racine alors munissez-vous de gants de jardinier et de votre piochon.
Après avoir fini de retirer toutes les ronces, la tâche ne sera pas finie, un quart des ronces repousseront l’année d’après à cause de morceaux de racines rester coincés dans le sol.
Le travail s’effectue sur plusieurs années.
Si vous pouvez enlevez les ronces à l’aide d’une machine dans un terrain plat, cela sera beaucoup plus efficace.
Il y’a aussi des ronces qui poussent dans les racines de grands arbres, elles sont tellement difficiles à éradiquer que la solution la plus efficace serait de laisser une bâche, n’ayant plus de lumière, elles finiront par mourir.

Les plantes exotiques et  les plantes  sauvages

Les plantes envahissantes sont la 3^ème cause de la diminution de la biodiversité.
On peut planter quelques plantes exotiques dans son jardin mais attention à ne pas importer des plantes envahissantes comme la balsamine géante qui détruit beaucoup de plantes sauvages surtout sur les berges des cours d’eau.

Quelques autres espèces envahissantes :
   Elodée du canada
   Robinier faux acacia
   Sumac de virginie
   L’herbe de la pampa

Si vous trouver une plante exotique dans le milieu naturel détruisez-là.

L’eau : les rivières et ruisseaux

C’est toujours plus sympathique un village au bord de l’eau, mais les cours d’eau ne sont pas à l’abri de dégradations faites par l’Homme.

 Les inondations 

Il arrive que le cour d’eau déborde, il est donc précautionneux à tous les riverains de faire attention à ne pas laisser trainer des choses non naturelles au bord de l’eau qui se retrouverait dans le lit de la rivière.
En effet, il est arrivé plusieurs  fois ou j’ai retrouvé des déchets tous les 10 mètres.

 Des berges naturelles 

Il arrive que le cours d’eau grignote un bout de terrain d’un coté de la berge.
Si vous voulez reconstituer le morceau perdu, il ne faut surtout pas créer un mûr artificiel, privilégier si mûr il y’a, un mûr en pierre sèche avec les pierres de la zone géographique.
On peut mettre quelques gros cailloux mélangés à un peu de terre au printemps pour consolider avant la prochaine crue en y mettant quelques plantes fixant ainsi la berge.
De grandes bêtises ont été faites parfois au bord d’un ruisseau avec de grands blocs de rocher  créant un mûr artificiel ou d’une autre couleur que celle du cour d’eau.
Le caractère sauvage a été totalement détruit avec le risque également  que se retrouvent mélangé les pierres exotiques avec les pierres naturelles au fond du ruisseau.
On peut aussi noter que certaines personnes pour rehausser la berge de leur terrain ou le consolider sont sans gênes pour mettre des gravats de ciments ou de briques et d’ autres choses  se retrouvant ainsi comme une grosse tâche dans l’écosystème aquatique.

Certaines habitations présentent un risque d’inondation, la meilleure solution à envisager est de creuser le ruisseau ou la rivière plutôt que de créer un grand mûr artificiel, le cour d’eau ressemblant ensuite à un canal hideux où tous les arbres on été coupé et les énormes trous d’eau qui se trouvait là avant ont disparu.

Les rivières sont souvent bordés d’arbres, si on veut couper quelques arbres pour laisser passer un peu de lumière surtout les ruisseaux qui se retrouvent vite à l’ombre, laisser les plus gros des arbres et ceux qui ont les pieds dans l’eau comme les aulnes.
Le but  après ces quelques petits travaux est que le travail effectué ne se voit pas sur l’aspect naturel du lieu.

 Etangs et mares

La création d’une petite ou grande mare amène à diversifier la nature et la beauté du paysage.
Si la mare est assez grande ou si c’est un étang, la création d’une petite île au milieu sera encore plus appréciable pour nous que du point de vue de quelques oiseaux qui pourront y rester tranquillement sans se faire attaquer par un prédateur.
On peut créer une mini montagne sur l’île si on est créatif.
Les joncs  permettent de maintenir la berge contrairement aux herbes qui tombent dans l’eau

Les rochers

En plaine les rochers sont rares, si vous en manquer un peu dans votre paysage, vous pouvez toujours en déterrer un si vous le trouver.
Le rocher ou le gros caillou sera plus utile dehors que si il était resté caché dans le sol.
C’est donc un élément non négligeable pour vivre dans un environnement plus joyeux.

Le cas des petites vallées creusées dans la montagne

Il y a parfois de petits villages au fond d’une vallée qui sont en équilibre entre la place que prend le village et la place que prend la nature.
Dans ces villages à hautes valeur paysagère, il est important d’interdire toute nouvelle construction pour empêcher de boucher toute la nature accessible comme coins de promenade pour les gens.
En effet, ce sont souvent les fonds de vallées les endroits les plus beaux, donc ne pas boucher tout le fond de la vallée avec des maisons.
Il vaut mieux une nature pour tous plus grande qu’une nature pour soi toute petite.
Dans nos pays très peuplés, si tout le monde avait une maison avec un grand jardin, les grands espaces de natures auraient disparu.

Les terrains privés le long des rivières et ruisseaux 

Si tout le monde veut égoïstement son coin de nature, on ne pourra pas faire plus de 500 m sans voir la présence humaine et profiter d’une nature authentique, si vous voulez profiter de la nature, promenez-vous ou prenez votre tente.
Exemple :
Un terrain avant sauvage a été dénaturé sérieusement.
Ils ont coupé tous les arbres au bord du ruisseau, installer une cabane, des plantes exotique en pleine nature sauvage et divers objets qui trainent par terre.
Comme par hasard juste après une inondation j’ai retrouvé des déchets dans le ruisseau venant de leur terrain.
Au lieu de privatiser la nature, laisser les petites vallées sauvages comme elles sont et faites un petit sentier naturel le long du cours d’eau, ça profitera à tout le monde.
C’est mieux d’avoir une vallée de plusieurs kilomètres sauvages qu’une succession tous les 500m de clôtures, de cabanes, et autres choses humaines, vous créez une mare au milieu de la nature, arrêtez de clôturer et d’accrocher votre pancarte à l’arbre qui reste coincé dedans avec écrit « terrain privé défense d’entrer »

Artificialisations des sites naturels

Il existe des beaux endroits sauvages mais malheureusement, il y’en a toujours qui on la mauvaise idée d’aménager la nature pour les touristes : passerelles, barrières, escalier en béton pour monter la colline, écriteau collé dans la roche.
Ce n’est pas grave si on ne peut pas aller partout, on regarde la nature d’un peu plus loin ou on prend ses bottes.
Les meilleurs endroits qui restent naturels sont artificialisés pour en faire un parc d’attraction pour  touristes chochottes.
Les sentiers doivent être le plus naturel possible.

L’environnement sonore

Un nouveau voisin est arrivé avec plusieurs chiens.
Ses chiens aboient 24h/24, 7 jours sur 7, le temps où je pouvais dormir la fenêtre ouverte est fini surtout quand il fait très chaud la nuit.
Il y’a des personnes qui ne veulent pas comprendre que ça embête leurs voisins, de plus ils ne respectent pas leurs chien car ils sont enfermés dehors dans un chenille tout le temps.
Autre petit conseil :
Les gens passent la tondeuse, si vous entendez votre voisin passer la tondeuse et que vous avez-vous aussi besoin de la faire, arrangez-vous pour le faire en même temps.

Les déchets

Les déchets courants :
Alors bien-sûr, chaque village a sa part de gens imbéciles, les pollueurs sont autant des enfants que des adultes, des cannettes et bouteilles d’alcool, paquets de cigarettes et autres déchets en tout genre.
Voir autant de canettes qui ne seront pas recycler pour faire des vélos ou autres choses sachant qu’on fait des trous à la planète terre pour sortir toutes ces matières premières.

Les gravats 

Depuis que je suis né il y’a eu de plus en plus de gravats qui se sont retrouvés dans un dépotoir détruisant des zones humides ou non ou enfouis dans le sol car trop loin pour eux de faire l’effort d’aller à la déchèterie.
Alors je fais un appel planétaire, inventez donc une machine qui recycle tout ça ou qui réduit ces gravats en poussières.

La nature idéale

Ici je vous transmets les principaux éléments d’une nature utopique dans une vallée de montagne.

Les principaux ingrédients sont :

Les minéraux
L’eau
La terre
Les végétaux
Les animaux

Aussi 4 saisons pour apprécier toutes les nuances et couleurs de la nature.

L’idéal est une montagne moyenne avec des vallées étroites avec des pics rocheux, falaises, de petites zones plus plates, tout cela rempli de forêts avec des petits espaces de prairies.
On y voit de nombreux ruisseaux rapides, clairs et sinueux où des chutes d’eau tombent dans de douces mélodies. Ils rejoignent la rivière qui serpente de temps en temps autours d’îles verdoyantes.
Il y’a les chute d’eau verticales ou en cascade mais aussi les chutes en forme de toboggan et parfois une chute sortant d’une grotte.
Parfois un arbre seul pousse au milieu du ruisseau et un autre se trouve au-dessus formant un joli pont naturel, les racines des aulnes plongent de plusieurs mètres dans l’eau.
Il y’a quelques grottes au milieu des falaises où même un ruisseau passe sous la montagne.
La forêt est composée de conifères et de feuillus, d’arbres multi centenaires, de très grands arbres, des gros troncs morts, des formes atypiques, de gros arbres tombés qui ont continué à pousser pendant longtemps grâce à leurs bouts de racines qui étaient encore reliés à la terre malgré la chute.
Dans les petites prairies au fond de la montagne, on trouve des mares et étangs à l’eau cristalline avec des îles au milieu et quelques roseaux accompagnés de divers rochers et cailloux.
Au milieu d’un près, un gros épicéa aux branches tombantes jusqu’au sol permet de grimper sur des dizaines de mètres.
Au printemps il y’a des arbres éclatant de fleurs, et les jours un peu plus chauds aussi de nombreux arbres et arbustes fruitiers.
Il y’a de nombreux sentiers traversant parfois un pont en pierre.