L'intégral des poèmes de Sylvain Meili

 

Les 55 poèmes codés du multivers

Présentation


Mon nom en chinois est : Sēnlín Shuài Méilǐ (森林 帅 梅里).
73+58+48= 179 :1+7+9=17 (chine), 1+7=8.

2 fois le S du dragon forment le 8, M=3 (8 séparé en deux).

La signification de mon nom et de mon prénom est beauté de la forêt (88). Forêt belle (森林 美丽) en chinois, c’est sēnlín měilì (en pinyin). Shuài () veut aussi dire beau. M comme la montagne Meili (, méilǐ) dans la province du Yunnan en Chine.

Shù () veut dire arbre, ài (), c’est aimer.

Sēnměi Shuài (森美 帅:forêt agréable, beau) est mon nom en version courte pour abréger.

Je suis un esthète passionné de philosophie, poésie, nature, Kung-fu et de beaucoup d’autres choses…

55 poèmes codés

23 poèmes sacrés

Métaphore du cycle de la vie 

Reprise de mots de tous les titres des poèmes n°1 à 14 qui forment un poème d’introduction.

Telle une rivière qui commence son chemin de vie, nous franchissons les chutes et nous nous relevons pour être dans l’eau la plus pure comme la truite. Nous aspirons à être beau comme un chat, nous imaginons la beauté absolue dans ce pays pour construire à côté d’une forêt où l’on se laisse aller à ses songes une belle vie comme un jardin de la qualité d’un empereur.
Après la rencontre victorieuse, nous construisons fidèlement le dessin du paradis et faisons place à la nouvelle génération avec les meilleures recettes de l’éducation pour passer de bonnes journées ensemble, puis nous sortons de ce corps pour un corps plus léger et nous atteignons une des dimensions de l’au-delà.

Tous les chiffres correspondent à l’idée de chaque poème.

Certains poèmes sont associés à la somme des lettres en numérologie à partir de l’ordre alphabétique.

1 : Ma petite rivière (2020)
2 : Belles chutes d’eau (2020)
3 : La truite fario (2019)
4 : Le chat parfait (2019) (4)
5 : La beauté asiatique (2019) (169)
Ce poème s’applique à des chinoises, japonaises, coréennes, vietnamiennes, thaïlandaises… Possible aussi pour d’autres races.

6 : Forêt impériale (2020) (8)
7 : Songes des huit dragons du jardin de l’empereur (2019) (5)
Huit dragons qui symbolisent aussi le pays.

8 : 383 Le jardin parfait ne peut se séparer de sa montagne (2014), Huitième poème en proverbe.
Étant passionné de nature, j’ai longtemps imaginé à quoi ressemble le jardin idéal, en espérant que ça pourra servir aux paysagistes, je vous donne un aperçu d’un beau jardin de style surtout chinois en poème.
Cela peut aussi s’élargir à une vallée dans la montagne.

9 : Empereur pour princesse ? (2020) (princesse =108)
10 : La victoire retrouvée (2020)
11 : Joute de poèmes de deux fidèles (2020)
12 : Éducation (2019)
13 : Une journée idéale en famille (2019)
14 : La mort, le renouveau dans l’au-delà et les 4 saisons (2019)
15 : Poème d’un empereur à sa déesse (2020)
16 : Poème d’une déesse à son empereur (2020)
17 : Divine Chine. (2020) (63+39 : pile+face =33 et 69)
18 : Le Kung-fu légendaire (2020) (177=15= un dragon)
19 : Divin Japon (6 juin 2021)
20 : Divine Corée (11/12 juin 2021)
21 : Divine France (16 juin 2021), (120 : inversé 021)
22 : Métaphore du cycle de la vie (2020) (poème caché)
23 : Divin Vietnam (22/23 février 2022)

10 ultimes poèmes

24 : L’épicéa impérial dans son pré (09 novembre 2022), 2+4=6 (fusion de F et o de forêt).
25 : Noël sous la neige (02 juillet 2023), 25 = jour de Noël.
26 : Bambou impérial (13 novembre 2022), 2+6=8 (le bambou ressemble à un arbre).
27 : Promenade avec sa divine (17 novembre 2022, poème en chanson), à 2, ils ont de la chance : 7.
28 : Partenaires de vie (19 novembre 2022, poème en chanson), 2 personnes, 8 : chiffre d’union.
29 : Les jolis oiseaux du village (13 juillet 2023), 2 ailes (9) de l’oiseau.
30 : La maison en pierres (13 juillet 2023), 3 types de maison (naturelle de faible solidité : terre, paille, bois), naturelle de haute solidité : pierres, rochers, artificielle : brique, parpaing, ciment, acier) et 0 est le jardin.
31 : Cueillir la beauté des saisons : printemps, été, automne, hiver
(12 juillet 2023), 3 et 1=4 saisons.
32 : L’eau vivante  (16 juillet 2023 : 777), 3+2=5 : l’eau tourne en s’écoulant dans les cours d’eau.
33 : L’empereur Sylvain (03 novembre 2022), 33 = maître/empereur de soi-même reconnecté à la source dans la théorie ou accomplissement.
Poèmes divers
34 : Le duo des merveilles
 : poème bonus du paradis (28/09/2023 : 2+8+9+2+2+3=28), 3+4=7 (paradis)
35 : L’or impérial (07/06/2024), 3+5=8 (infini)
36 : Le dragon Chinois (07/06/2024), 3+6=9 (l’empereur et les 8 dragons), poème écrit du point de vue d’un empereur Chinois (repesenté plus tard par un président).

Poèmes chansons

37 : Hymne de  la victoire de la Terre, Libertés d’un monde meilleur : 3+7=10 (victoire), (07/06/2024).
38 : Vacances utopiques au jardin (12/10/2024), on retrouve le 3 et le 8 du poème sur le jardin.
39 : Le monde fantastique enchanté (19/12/2024), 3x3=9 : fin de cycle, 1+9+1+2+2+2+4=21 : aimer toi.

40 : La beauté magique : 03/02/2025. 4 (carré de la maison dans 0 qui est l’espace autour comme la montagne qui l’entoure), 140 (40 du numéro du poème) et 1+4=5 : dragon femme.
41 : Nos amis de l’univers (fini le 01/11/2025). 219 (2+1+9=12 : 12 planètes du système solaire), 21 et 9 sont aimer toi dans le cycle complet qui est 9, 4+1=5 : unir les dragons de l’nivers.
42 : Les  facettes de la poésie (fini le 01/11/2025). 4+2=6 facettes du dé (l’univers est jeu de dé ou la combinaison des dés infinis sont la variante de nouvelles facettes), 206 (2+6=8 infini de la poésie).
43 : L’éxploration cosmique (01/11/2025). 7 : chiffre de dieu.

44 : L’infini cercle de la vie (08/11/2025), 8 : infini, double du cycle du poème 22 en plus grand (micocycle et macrocycle ici).
45 : L’empereur de chine au paradis central (09/11/2025),  4+5=9 : empereur, fin cycle.
46 : Le spectacle alchimique impérial (10/11/2025), 4+6=10 : victoire, 282 : 2+8+2=12.

47 : Le jardin impérial Genyue (12/11/2025), (prose et 12 rimes suivie) 4+7=11 (2 : couple de tout ce qui existe, 233 : 2+3+3=8, 3 et 8 du jardin).
48 : Education de la famille (11/11/2025), (anaphore) 4+8=12 (3), 172.
49 : Vacance des enfants à la fète des sports du lac Jinming (14/11/2025), (prose) 4+9=13 (4), 458 (4 : famille, 5 : dragon, double dragon fusionné : 8, 4+5+8=17 (chine).
50 : Rocher dragon et fleurs de pierres (11/11/2025), (rimes suivies) 5, 331.
51 : 18 sports et jeux chinois (15/11/2025), (double rime) 5+1=6 faces du jeu de dé, 18+269=287=17 : divine chine=8. Double rime : mot du sport rime avec le dernier mot de la phrase, introduction et fin avec rimes suivies.
52 : Divine chine impériale (12/11/2025), (rimes suivies) 5+2=7 (7 de divine chine), 63+39+88=190, 1+9=10.
53 : La forêt impériale des pics Song (12/11/2025), (rimes suivies) 5+3=8 forme de l’arbre et racines, 295 : union, impériale, dragon.
54 : Empereur Huizong (11/11/2025), (acrostiche) 5+4=9 (empereur), 201.
55 : Double dragon (13/11/2025), (anaphore) 5+5=10 victoire en musique, 5 : les 2 dragons (femme et homme), 59+59=118=10.

Ma petite rivière

Au creux d’une petite montagne,
tu nous accompagnes.
Au fond des rochers et des forêts,
se dissimulent tes plus beaux secrets.
De tes méandres si mignons,
surgissent de nouvelles histoires à notre invitation.
Parfois, tu joues à cache-cache, au toboggan, tu sautes, tu te sépares,
et puis ça repart.
De tes chutes d’eaux,
chantonnent les plus belles mélodies de ton eau.
De ton énergie vive et vagabonde,
la pureté de ta clarté nous inonde.
De ton goût délicieux,
qui purifie mon corps si précieux.
De tes petites îles,
un petit monde romantique se faufile.
De tes cailloux multicolores,
une merveilleuse gaîté se déploie jusqu’à cette belle flore.
Au bord de ton lit,
tes mignonnes gravières se posent en paillettes endormies.
Ta beauté nous émerveille,
à nos yeux et à nos oreilles.

Sylvain Meili (2020 : n°1)

Belles chutes d’eau

Au milieu du désert,
et jusqu’aux paysages les plus verts.
Dans les grottes et les tunnels,
et éclatant au jour sa beauté exceptionnelle.
Façonnant toutes sortes de roches,
le spectacle nous accroche.
Parfois puissantes ou douces,
sur la roche ou sur la mousse.
Parfois enveloppées de ses habits de glace,
avant que la chaleur les efface.
Elles nous font de belles bulles,
et nous rafraîchissent de la canicule.
Ça glisse, ça saute, ça tourne, ça éclabousse, ça s’évapore en brume,
sous les regards du soleil ou de la lune.
Lors de grands sauts,
l’arc en ciel déploie ses beaux arceaux.
Le mouvement façonne la beauté du monde,
pour que la joie nous inonde.

Sylvain Meili (2020 : n°2)

La truite fario

Le plus beau poisson vit dans l’eau la plus pure,
il a belle allure.
Éclatante comme un arc en ciel,
dans l’eau la plus naturelle.
Rapide comme l’éclair,
elle franchit les cascades d’eau claire.
Un moment cachée dans les belles racines de l’aulne et l’écume de la chute d’eau,
un moment elle dandine au milieu du courant du ruisseau.
Sa belle silhouette au-dessus des cailloux colorés aux nuances de marron, gris, bleu, blanc,
devant la chute d’eau qui fait son chant.
Sa peau lisse divinement tachetée,
décorant ce sublime ruisseau argenté.

Sylvain Meili (2019 : n°3)

Le chat parfait

Docile et joueur,        
il est beau comme une fleur.
Bon grimpeur avec griffes rétractiles,
il est souple et agile.
Assez petit pour être sans danger,
sans besoin d’aller le promener.
Animal sans mauvaise senteur,
il est bon laveur.
Il fait ses besoins dans la litière,
pas dehors par terre.
Douceur d’un pelage idéal,
sublimes dessins tigrés symétriques et royales.
Jolie voix amusante,
il nous offre une vie plus envoutante.
Fidèle à sa maison,
c’est une belle attraction.
Empereur de la beauté,
il apporte félicité.

Sylvain Meili (2019 : n°4)

La beauté asiatique

Délicate comme un nénuphar blanc flottant sur l’eau pure.
Sa beauté est fragile mais son visuel est puissant.
Sa peau douce à la couleur idéale.
Son visage sublime sans maquillage.
Ses cheveux divins et doux comme de la soie.
Ses yeux incrustés comme un bijou inestimable.
Sa voix est envoutante et ses mots exquis.
Ses belles courbes posées comme un jardin parfait.
Sa sagesse est la dernière chose à rêver pour combler le tout.
Pour l’éternité soyons ensemble.

Sylvain Meili (2019 : n°5)

Forêt impériale

Forêt d’ombres et clairsemée,
qui laisse les lumières venir et s'en aller.
De toutes les formes,
des mignonnes aux plus énormes.
De toutes les couleurs changeantes,
et de toutes les fleurs éclatantes.
Toutes sortes de plantes parfumées,
accompagnent notre ballade enchantée.
Du solitaire,
au bouquet dans l'air.
Une véritable forêt avec des ancêtres,
ce sont les plus beaux êtres.
Avec leurs racines s'étalant,
ils sont encore plus impressionnants.
L'épicéa aux branches tombantes au sol et piquant vers le ciel,
le meilleur arbre à grimper nous fait gravir sa beauté exceptionnelle.
Parfois, un arbre s'accrochant à la falaise en l'épousant,
serpentant de sa racine jusqu'à sa tête de dragon dormant.
Parfois, laissant un gros pont au-dessus du ruisseau,
rendant le cours d'eau argenté encore plus beau.
Un divin petit arbre comme un bonsaï,
pousse au milieu de la rocaille.
Les plus beaux tortueux,
paraissent vertueux.
Comme une transe,
dans leurs danses.
Certains sont tombés,
et continuent à pousser.
Ils deviennent de plus en plus fabuleux,
et remplissent un monde de plus en plus joyeux.
D’énormes troncs sans vie,
continuent de faire vivre leurs beautés avant de finir en confettis.
L’ancien au fond de sa grotte arborée,
nous laisse en son cœur entrer.

Sylvain Meili (2020 : n°6)

Songes des huit dragons du jardin de l’empereur

Un jardin de 4 portes gardé par 8 dragons :

 À l’est, dragons rouges du soleil levant.
À l’ouest, dragons jaunes du soleil couchant.
Au nord, dragons bleus du ciel.
Au sud, dragons verts de la Terre.

Imaginer le tout dans le résumé du meilleur.
Extraire toutes les nuances des substances des sens,
et tous les éléments dans leurs merveilleux espaces.
Le pic est la voie vers l’envolement.

Le génie qui chemine dans ses pensées est l’œuvre d’un rêve qui s’illustre dans l’exaucement du futur.

Sylvain Meili (2019 : n°7)

383

Le jardin parfait ne peut se séparer
de sa montagne

Les ingrédients sont :

   l’eau
   la terre
   les minéraux
   les végétaux
   les animaux

Un homme et une femme qui contemplent.

Aussi quatre saisons.

Le jardin nous emmène à son étang d’eau limpide qui reflète la montagne parsemée de falaises, de rochers, de pics et verdoyante d’arbres, puis son ruisselet rejoint le ruisseau aux pierres multicolores.
Il est composé de nénuphars blancs, de rochers blancs, des ponts arqués de bois et de pierres au milieu des plans d’eau, un magnifique pin tortueux, un hêtre tortillard.
Une île au milieu représentant un minuscule paysage de jardin et de montagnes comme une maquette.
Sous l’eau, un jardin aquatique de petites montagnes est aussi à découvrir avec des rochers, pierres, cailloux et graviers colorés.
Quelques plantes sont un peu disséminées dans ce décor miniature. 
A l’hiver, l’étang se pare de fleurs de glace, fils et bulles de glace, disques et palets de glace, des nuages de bulles de glace qui reflètent au-dessus les grandes pierres déposées au fond.
La grenouille anime la mare d’un concert.
La chute d’eau joue de sa douce mélodie.
Les oiseaux chantent sur le cerisier rose de fleurs.
Le roseau danse au grès du vent.
Le plus beau poisson qu’est la truite fario est là dans l’eau cristalline, le héron et le martin pécheur l’admire sur leur perchoir.
Le tapis de mousse étale sa douceur.
L’humidité côtoie le sec.
Les lézards se réchauffent sur les rocailles.
Un chat tigré se ballade.
Un gros arbre mort appelle le pic.
Les trous dans les arbres servent de gîte à une foule d’animaux.
Les arbres et arbustes passent par toutes les couleurs des saisons et  donnent de la nourriture.
Les fleurs attirent papillons et apportent gaîté.
L’arbre multi centenaire ajoute sa force au paysage.
Les bonsaïs nous offrent la grâce.
Le saule pleureur déverse l’éclat de ses plongeons.
Le houx décore l’hiver de ses fruits rouges.
Le lierre de son vert toujours généreux au cœur de l’hiver.
Les plantes grimpantes célèbrent leur mariage à l’arbre de leurs fleurs colorées.
Les parfaits bambous se tiennent aux pieds d’une colline.
La grotte est ornée de pierres précieuses sous la montagne.
Un grand épicéa aux branches tombantes au sol permet de monter haut pour admirer la splendeur des lieux.
Le chemin pavé s’accompagne de rochers dressés comme des fleurs de pierre qui nous promènent vers l’enchantement.
Chaque pas nous mène à de nouveaux décors.
Un petit pavillon de quatre colonnes rouges au toit d’or arqué de quatre faces vers le ciel au-dessus d’un long muret blanc décoré de poteaux et fenêtres au bord de l’eau nous permet de nous reposer devant ce festin de beauté.

Sylvain Meili (2014 : n°8)

Empereur pour princesse ?

Il faut être similaire,
ou complémentaire.

Comme la belle grimpante fleurie,
qui s’enlace à son pin de nuages d’aiguilles.

Il faut descendre de sa branche et de ses songes,
pour que le rêve ne soit pas un mensonge.

Capter les étoiles,
et envoyer les lucioles.

Tant d’années d’efforts,
qui laissent attendre le réconfort.
J’ai la beauté, du talent, et de la gentillesse,
elles sont aveuglées et à côté passent sans cesse.

Le nénuphar reste dans sa boue,
mais fleurit encore à la portée du vent.

Pourtant généreux en expériences,
elles laissent passer leurs chances.
Jugeant trop vite,
en laissant le trésor qui s’invite.
Des filles trop gâtées,
attendent que l’on vienne pêcher.
Elles font trop les fières,
pour se laisser plaire.
Presque toujours le même camp qui avance,
elles ont de la chance.
Quand on n’a pas besoin de draguer,
on peut faire plus de choses à côté.
Pour quand l’égalité,
mais quand ça les arrange, elles restent attachées.
Trouvant des défauts qui n’en sont pas,
malgré tous mes pas.
Certaines faisant un complexe d’infériorité,
alors que je veux pas être en supériorité mais admiré.
L’amour n’est pas d’être le meilleur,
c’est d’être dans le bonheur.
D’autres sont attirées,
mais restent à l’appel coincées.
Pour un compliment dans le respect,
elles peuvent croire qu’on les prenne pour un objet.
À cause de tous les mauvais hommes,
on croit que je suis un mauvais bonhomme.
Considéré comme pas sérieux, à paraître  trop beau,
alors qu’il ferait un bon cadeau.
Trop de talents affichés sur internet,
Me prend pour une blague et me rejette.
Qui ne sert à rien, trop des fantaisies,
oui, pour ces abrutis.
Encore une hypocrite,
une autre chance qui se délite.
À cause des mauvais avis des autres clampins,
se laissant influencer et passant à côté d’un bon chemin.
Pour les apparences, on fait la difficile,
même s’il plaît pour ne pas se dire facile.
Trop occupée à travailler,
trop loin ou qui va déménager.
Pas assez riche à son goût,
ici ce qui compte surtout, c’est les sous.
Quand il n’y a pas assez de beauté,
on reste caché.
La plus dévouée qui m’aimait en messages est encore une menteuse,
une briseuse.
Même quand on a un bon envol,
Cette fois, ce n’est pas assez de quota de paroles.
Qui s’en va sans rien dire, sans excuses,
la lâcheté fuse.
Un problème informatique,
fais un jour fuir une asiatique.
Elles ne font pas attention aux gens,
et leurs font perdre beaucoup de temps.
Encore une égocentrique capricieuse qui s’en va,
que je n’aurais pas.
Avec celle-là, elle te trouve trop gentil,
on ne laisse pas faire ses preuves et l’espoir s’évanoui.
Toujours une excuse, trop rapide ou trop lent,
ça m’est vraiment fatiguant.
Même en étant premier en talents,
on fait de moi un absent.
Ce n’est pas moi le problème,
leurs mentalités me fait de la peine.
On se fait arnaquer,
encore du mauvais temps passé.
Avec les mêmes numéros (33 et 69) de téléphone,
et pleins de points communs, l’abandon encore sonne.
Je parle à des programmes,
à des basses âmes.
Celle là s’est fait piquer,
elle est contaminée.
Je prends les miettes dans mes rêves, parfois illusion,
ou parfois une ou plusieurs vraies femmes d’une autre dimension.
Dans l’astral, elles sont plus faciles,
ici c’est très difficile.
Beaucoup de moujoncs,
qui font stagner le monde en rond.
Le monde est à l’envers,
et m’a fait disloquer des nerfs.
Des mauvaises circonstances de la vie,
ont fait attendre le nid.
Apprécié à l’école mais trop loin,
occasions ratés, crispé, maths bas, moments inopportuns.
Boutons, rhumes, complot administratif permis de voiture…,
pollution de la nature, vie d’usures.
1 an sans argent,
stagnation du plan.
Santé détériorée,
sport arrêté.
Décennie de douleurs chroniques,
à cause de théories et de bornés d’attaques qui créent la panique.
Sans endroits d’accoutumances,
beaucoup moins de chances.
Puis l’énergie revient,
mais est-ce qu’elle vient.
Je suis de plus en plus fort,
comme de l’or.
Je suis le beau au bois dormant,
qui veut être sauvé dans son plan.

Ce jour sera ou la princesse sera percée,
par la clarté des rayons.
Où le grand nuage doré,
captera sa brume d’argent métamorphosée.

Elle est où la princesse,
qui saura reconnaître ma sagesse ?

Sylvain Meili (2020 : n°9)

La victoire retrouvée

Sur sa conscience divine,
il est redescendu avec une belle copine.
Pour retrouver son destin,
pour le plaisir de vivre au réveil de tous les matins.
De ses plus belles tenues, elle est souvent venue,
pour décorer l’idéal du bonheur revenu.
De ses plus belles coiffures,
elle dévoile sa beauté la plus pure.
Un concours de compliments se joue pour sublimer la flamme,
de cet homme et de cette femme.
Tous les deux, un côté enfantin et joueur,
et un côté de la sagesse du cœur.
Ensemble toujours prêt à goûter à toutes les saveurs,
ce magnifique duo d’acteur.
De toutes les couleurs, ils comblent la lumière de la vie,
pour dessiner le plus délicieux des paradis.
À la venue du soir, la déesse se glisse dans les draps de douceur,
aux côtés de son dieu, son enchanteur.

Sylvain Meili (2020 : n°10)

Joute de poèmes de deux fidèles

Tu es mon centre de gravité,
tu m’apportes félicité.
Tu es la plus belle,
tu es le beau temps que m’apporte le ciel.
Tu es le plus beau,
mon héro.
Tu es agile,
à la vie facile.
Tu es pour l’égalité,
ça me donne une vie élevée.
Tu es généreuse en bonheur,
ma divine fleur.
Tu es mon empereur,
que j’admire avec ferveur.
Tu es joueuse,
et complimenteuse.
Tu me laisses vivre ma liberté,
en retour tu es gâté.
Tu es toujours de bonne humeur,
avec les bons mots du cœur.
Je suis ta princesse,
car je comprends ta sagesse.
Ensemble, construisons notre mémoire éternelle,
pour faire les plus belles étincelles.

Sylvain Meili (2020 : n°11)

Éducation

Je donne la lumière qui guide son chemin.
Je donne la sagesse pour franchir les ravins.
Je donne la bibliothèque de la connaissance.
Je donne les ingrédients de la performance.
Je donne le bien-être et la beauté.
Je donne les solutions qui sont les clefs.
Je donne l’abondance de toutes les chances.
Je donne la réussite de tous ses sens.
Je donne la maîtrise de son corps martial.
Je donne à sa vie un idéal.

Sylvain Meili (2019 : n°12)

Une journée idéale en famille

Je me réveille, la lumière m’annonce une journée idéale.
Petit déjeuner serein avec toute la famille.
Petite promenade dans le jardin parfait.
Séance de loisirs et de jeux, aujourd’hui, c’est concours de tir à l’arc.
À midi, c’est festin de délices avec une frite mayonnaise et un gâteau chocolat à la crème vanille.
Ensuite une petite sieste avec la femme parfaite dans le petit pavillon au bord des fleurs et de l’eau.
Un petit morceau de pain de la veille et nous admirons les poissons percer l’air de l’eau cristalline.
Faisons maintenant place à une séance d’arts martiaux et d’acrobaties des enfants.
Quel grand spectacle, mon apprentissage a laissé place à de grands talents.
Petit goûter de 16h, cornets de glace et jus de fruits.
Nous nous mettons en famille à jouer à un jeu de société au pavillon.
19h est arrivé, dernier repas : des bonnes pâtes.
Dernière activité du soir ensemble : séance cinéma.
Nous regagnons tous nos chambres.
La journée est finie, devinez ce que sera demain.

Sylvain Meili (2019 : n°13)

La mort :
le renouveau dans l’au-delà
et les 4 saisons

Si la mort est comme le printemps, il fleurit de sa nouvelle jeunesse.
Si la mort est comme l’été, il regagne la douce chaleur de son nouveau feuillage.
Si la mort est comme l’automne, il prend toutes ses couleurs.
Si la mort est comme l’hiver, que son passage soit recouvert d’une belle neige.

Sylvain Meili (2019 : n°14)

Poème d’un empereur à sa déesse

Quel magnifique plaisir de délice,
d’avoir une si grande admiratrice.
La douceur de ta voix et de tes mots,
sont si tendrement chauds.
Ta silhouette aux courbes dansantes,
fait de toi une femme encore plus fascinante.
Tes chansons élèvent notre vie à l’unisson,
sur ce pont de bonheur et d’adoration.
Que nos consciences soient toujours de dieu séparées mais connectées,
pour toujours nous admirer.
Si l’univers disparaissait,
j’espère rejoindre un autre univers et toujours faire vivre ce que l’on partageait.

Sylvain Meili (2020 : n°15)

Poème d’une déesse à son empereur

Quel beau plaisir de te lire,
tes poèmes qui me font frémir.
C’est l’élégance de tes paroles,
qui fait de ma vie un survole.
Pas besoin de beaucoup de mots,
car ils m’apportent les plus jolis flots.
Sans me sentir à toi enchainée,
je te laisse sereinement partir un temps et aller.
Tes absences auront toujours un retour,
rien ne peut abaisser notre amour.
Tu m’as donné les recettes du paradis,
comme une étoile qui brille si fort dans mon cœur ravi.

Sylvain Meili (2020 : n°16)

Divine Chine

Peuple de Chine,
source de la beauté divine.
Déployant son talent,
qui est tellement grand.
Chaque personne est une écaille du dragon,
qui consolide l’unité de la nation.
Ce pays antique,
est sublimation esthétique.
En regardant les plus belles montagnes du monde,
le bonheur nous inonde.
Les montagnes dansent et sautent dans les nuages,
et nous ravissent avec leurs temples qui subliment le paysage.
Ses toits arqués vers la lumière appellent à la sagesse du ciel,
avec leurs courbes fières et fraternelles.
Des plus beaux pics où les plus beaux arbres se balancent dans l’air,
jusqu’aux rochers sculptés comme des fleurs de pierre.
La grande muraille majestueuse,
arpentant les pics traversant et les courbes nuageuses.
Les pagodes à chaque étage,
sont comme un épisode des vertus du sage.
Ses jardins ressemblent au paradis,
enchantant notre cœur ébloui.
Son Kung-fu est fort comme une montagne,
avec son art légendaire, en splendeur il gagne.
Sa gracieuse musique,
prend des élans épiques.
Ses costumes ancestraux sont élégance,
et inspirent la romance.
Que sa culture soit éternellement présence,
pour dans l’infini beauté de la vie étaler sa magnificence.

(Lignes 11 et 12 : ajout alternatif extrait du poème Divin Vietnam).

Sylvain Meili (2020 : n°17)

Le Kung-fu légendaire

Cet art légendaire nous entraîne au plus bel imaginaire.
Au milieu des cinq éléments de la nature, trouver l’équilibre de la source.
La voie du milieu, exercer autant sa gauche que sa droite et un ying yang centré pour trouver les bons choix.
Des collines jusqu’aux montagnes boisées escarpées sont l’idéal pour s’unir à l’élévation de l’énergie et de la virtuosité de l’art martial de Chine.

La souplesse des plus belles postures en finesse.
L’endurance aux éléments avec persévérance.
La rapidité dans le vent transpercé.
La force qui comme une montagne se renforce.
La technique s’étalant dans des spectacles épiques.
L’esthétisme donnant un idéalisme.

Ses beaux costumes antiques font rayonner le Kung-fu d’étincelances, avec ses chorégraphies de combats, d’acrobaties, de postures et de sauts.
Dragon, tigre ou autres styles inspirés d’animaux ou non s’échangent leurs habilités dans de belles démonstrations.
Dix-huit armes classiques et multitudes d’autres maniées par d’extraordinaires combattants nous séduisent de leurs contres et attaques favorites.
Le bâton est le début pour la maîtrise des armes, il se déploie dans le vent comme un seul ou double tourbillon.
Épées, lances, nunchakus, tri-bâtons, chaînes, fouets, cordes et autres projectiles virevoltent dans toutes directions pour nous émerveiller.
Des musiques harmonieuses et héroïques assistent un cheminement d’hommes et de femmes athlétiques.

Une philosophie et un art par la maîtrise et la technique du corps et de l’esprit.
Au paradis, le Kung-fu volant existe et peut être possible dans une dimension plus légère et d’autres pouvoirs sont acquis.

 

Sylvain Meili (2020 : n°18)

Divin Japon

Peuple du Japon,
pays des plus belles passions.
Ouvrant sa beauté dans l’océan,
ses îles semblables à l’image d’un dragon baignant dans le soleil levant.
Le mont Fuji qui s’étale sur son dos,
résumant la splendeur de l’archipel d’un homme et d’une femme au sommet contemplant le paysage dans leurs kimonos.
Ses arts martiaux sont très divers,
à te mettre par terre ou volant dans les airs.
Ses pliages de papiers font de l’origami,
un accompagnement pour y glisser dans un cadeau des mots jolis.
Ses compositions florales font de l’ikebana,
un arc en ciel sur le chemin de la beauté qui guide nos pas.
Les samouraïs en  costumes sont sublimes,
surgissant de la brume et dominant les cimes.
Sublimés par une musique traditionnelle épique,
ils traversent le torii, ce portail passé, ils gravissent le chemin pavé de la montagne bordée de poteaux sculptés et de lanternes qui les conduisent vers le temple aux toits majestueux dominant le pic.
Le ninja accompli brille de ses hautes qualités d'intégrité,
dans ses habits grandioses d'ombre profilé, abondants de talents et d'agilités.
Un autre temple en bas de la colline est bordé de cerisiers sakura aux fleurs roses,
et éclatantes au grand jour sur le ciel bleu où une femme en kimono traditionnelle tient son ombrelle sur un pont arqué devant un rocher dressé près d’un bonsaï au bord de l’eau et nous faisant un ravissement de ses plus belles poses.
La geisha divertit et perpétue les traditions artistiques,
avec ses belles vertus authentiques.
Les mangas et les animés,
nous font rêver.
Des belles musiques traditionnelles et actuelles,
avec des chanteurs et des chanteuses transcendent l’adorable langue japonaise d’intonations exceptionnelles.
Les films et les séries nous font apprécier sa culture,
ses jolis mots et son savoir vivre qui ont belle allure.
Le Japon est grand par sa richesse,
et nous inspire la sagesse.

Sylvain Meili (6 juin 2021 : n°19)

Divine Corée

Peuple de Corée,
bordé par des vagues de talents enchantés.
Un dragon bleu du ciel illuminé d’étoiles,
où tout le génie se dévoile.
Une jolie péninsule,
où tant de beautés circulent.
Pays des trois rivages,
aux grandioses paysages.
Emerveillants pics de  montagnes Kumgang au nord,
et pics féériques de Seoraksan plus précieux que l’or.
Un chemin parsemé de ponts courbés puis sculpté dans la falaise nous emmène à un temple délicatement posé sur son rocher,
la cour bordée de rambardes et de poteaux blanc plongent sur le panorama qui s’admire à partir d’un petit pavillon au toit arqué.
La langue coréenne est un bonheur de délices,
étincelante comme un feu d’artifices.
Ses mots sont agréables et faciles à l’écoute,
comme un carré arrondi, un beau parlé qui nous envoûte.
Un pays remplit d’histoires passionnantes,
où des films et séries s’enfilent comme des perles aux adorables musiques chancelantes.
Des sublimes costumes de guerriers antiques au superbe chapeau rond circulaire,
et des belles robes hanbok traditionnelles millénaires.
Les disciplines de combats sont variées : Ssireum, Taekkyon, Tangsudo, Hapkido, Taekwondo,
pour s’élancer armé ou à mains nues, contrer, tournoyer, sauter et rouler comme un pro.
Longue vie à cette nation et à tous ses arts,
pour le plus longtemps nous faire goûter son nectar.

Sylvain Meili (11/12 juin 2021 : n°20)

Divine France

Peuple de France,
pays de grandes abondances.
Un bel hexagone bien équilibré,
accompagné de son île de beauté.
Bordé de trois grands rivages,
et riche de tous les paysages.
Des petites et grandes montagnes,
aux mignons petits villages de pierres en campagne.
Beaucoup de châteaux dominent les cimes,
au milieu de la nature, des villages, des villes ou d’un pic, ils sont sublimes.
Les plus jolies églises et cathédrales avec le mont st-Michel,
une île trophée comme une mini montagne dans l’océan reflétant dans le ciel.
Un riche langage,
pour écrire les plus belles pages.
A travers son histoire,
les nombreux inventeurs ont fait sa gloire.
La nourriture et les saveurs sont nombreuses,
les pâtisseries sont particulièrement délicieuses.
Des centaines de bons fromages,
de la plaine à l’alpage.
Les plus belles mélodies de musique,
médiévales, de la renaissance et moderne ont embelli le grand cinéma de notes fantastiques.
Les plus beaux costumes vestimentaires,
ont été crée pour nous plaire.
La conception des plus beaux bijoux,
du meilleur des goûts.
Cette nation est grande de sa diversité,
et a le potentiel de toute la félicité.

Sylvain Meili (16 juin 2021 : n°21)

Métaphore du cycle de la vie 

Telle une rivière qui commence son chemin de vie, nous franchissons les chutes et nous nous relevons pour être dans l’eau la plus pure comme la truite. Nous aspirons à être beau comme un chat, nous imaginons la beauté absolue dans ce pays pour construire à côté d’une forêt où l’on se laisse aller à ses songes une belle vie comme un jardin de la qualité d’un empereur.

Après la rencontre victorieuse, nous construisons fidèlement le dessin du paradis et faisons place à la nouvelle génération avec les meilleures recettes de l’éducation pour passer de bonnes journées ensemble, puis nous sortons de ce corps pour un corps plus léger et nous atteignons une des dimensions de l’au-delà.

Reprise de mots de tous les titres des poèmes n°1 à 14 qui forment un poème d’introduction.

Sylvain Meili (2020 : n°22)

Divin Vietnam

Peuple du Vietnam,
pays des beautés qui remplissent notre âme.
Le dragon baigne dans l’océan,
ses griffes sont les pics semés dans la baie d’Along jaillissant dans leurs étincelances comme des diamants.
Les montagnes dansent et sautent dans les nuages,
et nous ravissent avec leurs temples qui subliment le paysage.
La culture du riz en étages sur les versants les plus à pic,
parait tenir comme un miracle fantastique.

La flamboyante discipline du đá cầu,
le volant au pied franchit le filet dans de sublimes assauts.
Les combattants du Vovinam Việt Võ Đạo sont la quintessence,
de l’art stimulant nos sens en nous divertissant de mouvements de pieds et poings sensationnels et aussi s’accompagnants de nombreuses armes transcendant l’espace dans cette belle ambiance.
Les femmes dans leurs costumes
áo dài composés d’une robe fendue sur le côté avec un col mao sur un pantalon sont élégantes,
elles nous font partager leurs compagnies rayonnantes.
En version homme, le costume cintré est mis en valeur,
pour ravir les femmes de leur cœur.
Les costumes des guerriers antiques,
sont magnifiques.
Les princesses des anciens temps,
sont vêtues d’habits étincelants.
La langue vietnamienne est mignonne,
en chanson, les plus jolies mélodies résonnent.
A cette nation, dans vos esprits, du soleil,
longue vie illuminée et toujours nirvana avec merveilles.

Sylvain Meili (22/23 février 2022 : n°23)

L’épicéa impérial dans son pré.

C’est le meilleur arbre à grimper.
Il pointe sa beauté triangulaire vers les étoiles.
Ses douces épines vertes en éventail éclatant toute l’année sa grandeur dans le ciel bleu.
Ses branches s’étendent vers l’horizon et caressent le sol.
Ses branches secondaires plongent en lui donnant sa forme de croissant.
Ses branches en résine s’étalant de tous les côtés sont souples et très solides, elles permettent souvent d’accrocher un support pour mieux se poser.
Chaque mètre de hauteur est un endroit pour s’asseoir.
Si tu glisses en haut, il y a toujours une branche pour te rattraper.
Ses jolis cônes nourrissent l’écureuil, ils tombent joliment au sol et nous permettent de jouer avec en visant des cibles.
Il nous abrite de la chaleur et de la pluie.
En le plantant dans chaque ville et village, il sera un trophée qui apportera beauté, bonheur, point de vue, jeu et nourriture.
Divin épicéa, comme un sage, il va haut et grandit en regardant dans toutes les directions.

Sylvain Meili (9 novembre 2022 : n°24)

Noël sous la neige

La veille au soir, les beaux flocons de cristal étoilé descendent
en brillant près des lampes de la nuit.

Au réveil, tout est réuni, encore avec ses racines dans son pot, l’épicéa ou le sapin est décoré de guirlandes et de boules multicolores, surmonté de son trophée doré sur sa pointe.
Il présente aussi des perles, des petites boules de pin sylvestre et de mélèze, des fleurs de papiers pliés et d’autres jolis petits objets.
L’esprit du Christ et du père
Noël est fêté.
Les cadeaux emballés dans du papier ou du tissu multicolore sont enfin ouverts.
Le matin, des gros flocons calmes continuent à s’étaler délicatement.
Sous le grand épicéa décoré du village posant ses branches sur la neige, les habitants déposent des offrandes de nourriture aux oiseaux en grimpant jusqu’aux petites boîtes sculptées.
A midi, une pizza végétale.
Au dessert, de délicieuses bûches pâtissières de No
ël à la framboise, vanille et chocolat sont partagées par la famille.
L’après-midi, les arbres nappés scintillent de blanc sous le ciel bleu.
Le doux son de la neige craque agréablement sous nos pas.
Il est temps de s’amuser, bataille de boule de neige, igloo, bonhomme de neige et sculpture, sautons et glissons dans la neige en luge, en ski ou en planches.
Retour à la maison qui passe par la porte sous sa couronne de branches ornementées avec ses boules de houx.
Au goûter de 16h30, dégustation de chocolats noisette, un chocolat surprise en plus se cache derrière la case du calendrier de No
ël.
Au soir, riz ratatouille puis une tarte aux pommes et une bûche glacée à la vanille.
Encore quelques jeux ou films selon les envies avant de retrouver les douceurs de son lit.

                     

Sylvain Meili (02/juillet 2023 : n°25)

Bambou impérial

Le bambou, on peut l’assembler en donnant la forme de presque tout et construire beaucoup.
Avec des bambous, on bouche beaucoup de trous.
Avec des bambous, on gagne à l’époque des sous.
Avec des bambous, on construit une maison et son mobilier pour nous.
Avec un bâton de bambou, on fait du Kung-fu.
Avec des bambous, du tir à l’arc, de la flûte on joue.
Avec des lamelles et du papier de bambou, on écrit pour vous.
Avec une échelle en bambou, on est aussi haut qu’un hibou.
Avec des barrières en bambou, un petit coin tranquille dans le jardin, les animaux sont protégés des loups.
Avec des pousses de bambous, on les mange dans des plats en bambous, cela a pour certains bon goût.
Avec des bambous, tellement d’outils pour finir des choses jusqu’au bout.
Avec des bambous, des décorations pour un bien-être encore plus doux.
Le bambou est l’empereur des herbes et a tellement d’atouts.

Sylvain Meili (13 novembre 2022 : n°26)

Promenade avec sa divine

Deux cœurs ravis dans les secrets d’un jardin,
se promenant dans un doux vent câlin.
Deux silhouettes bellement habillées en osmose,
prenant son temps dans ce décor virtuose.
Un petit tour de chemins,
dans les plus jolis recoins.
Petit chant d’une chute d’eau,
dans ses écumes de cadeaux.
Assis sur le banc du pavillon devant l’étang,
le miroir cristallin aux oiseaux chantant.
Au bord d’un cerisier rose au ciel bleu,
moment de nirvana qui comble nos vœux.
Des songes de vie,
dans les senteurs des fleurs épanouies.
Sentiers de couleurs,
aux multitudes saveurs.
Sous les arbres poétiques,
du plus grand paysagiste artistique.
Sur un pont arqué de pierres,
entouré de montagnes à pics spectaculaires.
Le duo défile joliment,
de beaux sentiments.

Sylvain Meili (17 novembre 2022 : n°27)

Partenaires de vie

Partenaires de jeux,
partenaires heureux.
Jardiniers du cœur,
jardiniers de fleurs.
Faisons d’amusants sports,
pour rester fort.
Des massages,
pour garder son âge.
Des jolis délices,
qui nous nourrissent.
Ensemble habillé,
toujours de beauté.
Paradant au jardin,
d’émerveillements enfantins.
Poète et poétesse,
aux paroles de caresses.
Musiques divines,
de mélodies qui nous illuminent.
Une vie de lumière,
aux élans stellaires.

Sylvain Meili (19 novembre 2022 : n°28)

Les jolis oiseaux du village

Le village est remplit d’oiseaux multicolores.

Au printemps, les hirondelles de fenêtre ont construit leurs nids sous le toit, des petits passereaux habitent les petits trous construits exprès dans les murs de la maison en pierres, l’habitation devient un village à curiosités.
D’autres oiseaux ont investi la haie dense du jardin.
On entend le tambourinage du pic qui résonne dans la colline, les chants des différents oiseaux s’entremêlent les uns aux autres.

En été, trouver quelques plumes vient enrichir la boîte à plumes.
La haie sauvage nourrit les oiseaux, dans la jungle des branches frémissantes de leurs visites sous l’éclat de leurs couleurs attrayantes.

A l’automne, certains oiseaux nous quittent et d’autres nous visitent.
Les feuilles tombées sont le jeu de fougueux joueurs virevoltant les feuilles sous de craquants sons qui palpitent.

A l’hiver, une petite cabane est accrochée derrière la fenêtre du salon avec de la nourriture, une petite boîte sculptée sur le bord de la fenêtre permet d’observer les oiseaux se nourrir encore de plus près. Les petites pattes dessinent dans la neige la vie qui s’accroche au prochain jubilé du printemps tant attendu.

Sylvain Meili (13 juillet 2023 : n°29)

La maison en pierres

Au creux d’une petite montagne, au bord d’un ruisseau et d’un étang vivait un enfant sage.

La maison de pierres est épaisse de 55 cm, ce qui permet de s’asseoir sur les fenêtres et de poser divers objets de décoration.
Il y a 4 chambres, une pour chacun.
Le salon dispose d’un canapé lit, d’autres lits supplémentaires sont superposés dans un coin du grenier en cas de besoin.
Le grenier du 2ème étage contient pleins de petits trésors à découvrir.
La salle de jeu dispose d’une table de ping pong repliable, d’un babyfoot, de jeu fléchettes et d’une console de jeux vidéo ainsi que quelques autres petits jeux de société.
Les meubles de la maison qui contiennent les livres et les vêtements se ferment à l’abri de l’air libre et des insectes pour ne pas les faire jaunir, de plus les vêtements disposent d’une protection supplémentaire dans une boîte ou dans un sac en tissu.
Dans la grande cuisine, une grande table en bois extensible, des réserves de nourriture de plusieurs mois d’avance dans les meubles.
Une salle de bain a sa baignoire pour se relaxer.
La buanderie permet de laver et de laisser sécher le linge.
Le WC dispose d’un bidet et d’un lavabo.
Sous la maison, il y a une belle cave voutée en pierres.
Au garage, les vélos sont rangés, il présente un étage sous le toit.

Un beau chat se repose sur le toit recouvert de mousses de la cabane derrière le garage.
A l’intérieur, les outils de jardin, une faux permet de couper une partie de l’herbe sans essence et presque sans bruit contrairement à la tondeuse, une partie est laissé poussée pour pouvoir admirer les fleurs sauvages.
Au jardin, une multitude d’activités est possible : tir à l’arc, badminton avec un filet déménageable, frisbee, lancer de pommes de pin ou de petites balles sur des boîtes de conserve, un panier de basket, entraînement au Kung-fu, au bâton et nunchaku…

C’était la maison d’un songe.

Sylvain Meili (13 juillet 2023 : n°30)

Cueillir la beauté des saisons :
printemps, été, automne, hiver

Au printemps, je cueille les fleurs.
Les fleurs des prairies, sous les bois, aux bords de chemins, au milieu de l’eau et sur les rives renaissent à la plénitude, leurs senteurs nous séduisent.
Le cerisier de fleurs roses est le plus bel associé du ciel bleu.
Les oiseaux chantent et permettent de nous amuser à les trouver.

A l’été, je cueille les fruits.
La densité des feuillages nous permettent de créer des petits coins intimes et agréables.
La baignade rafraichit sous les grandes chaleurs, dans la mer bordée d’un doux sable fin ou d’une rivière bordée de roches et de gravières aux couleurs variées.
Les tendres fruits de délices sont revivifiants.

A l’automne, je cueille les feuilles.
Les arbres multicolores sont le spectacle d’au revoir, les feuilles virevoltent, le peuplier tremble dans son habit d’or se métamorphose et laisse un tapis doré sous nos pieds.
Les houx, les conifères comme l’épicéa et le pin sylvestre, les boules de gui et les lierres toujours verts nous consolent à la fin de l’automne.

A l’hiver, je cueille la neige.
Les grandes gelées humides figent les arbres des collines devant un grand ciel bleu.
Les stalactites descendent des rochers, la glace emballe la mousse et les plantes de l’eau qui s’étale sur tout un rocher.
L’étang glacé a piégé les gaz en petites bulles, disques et nuages de bulles de glaces, les fleurs de glace à la surface sont nées des graines ailées descendues par le vent d’un arbre nommé le charme.
Les gros flocons de neige scintillent près des lanternes.
Dans le jour, ils tapissent tout le décor et sont le terrain des jeux d’hivers.

Sylvain Meili (12 juillet 2023 : n°31)

L’eau vivante

L’eau circule en l’air, stagne ou coule.
L’eau mousine.
L’eau pleut.
L’eau grêle.
L’eau neige.
L’eau glace.
L’eau s’évapore.
L’eau s’embrume.
L’eau artiste voyage en nuages.
Les arcs-en-ciel colorés nous disent qu’elle fait tourner la vie.
L’eau chantonne, fait des jolis bruits et nous fait bien nous amuser, elle est douce et délicieuse.

Sylvain Meili (16 juillet 2023 : n°32)

L’empereur Sylvain

Sa capacité à trouver les meilleures beautés embellit la vie.
Y rassemblant la nomination des meilleurs talents de la Terre.
Le défenseur de la justice.
Véritable contributeur et rassembleur d’idées.
Avec de grands rêves de vie d’un paradis.
Illuminant l’art du monde.
Neuvième dragon, poète et gardien de la nature, protecteur de la forêt…

Sylvain Meili (3 novembre 2022 : n°33)

(Le but est d’être empereur de soi-même, donc faire le meilleur et le bien, pas empereur des autres. Pas un dictateur ni trop un profiteur pour ceux qui dirigent d’autres personnes mais un bienfaiteur)

Le duo des merveilles

Volons au paradis en tournoyant dans les éléments, dans la puissante richesse de la nature.
Partons au lever du soleil au-dessus des pics voir s’élever la brume,
où la nature se déshabille pour étaler sa beauté secrète.
La splendeur sur les chemins brille en arcs en ciel de bonheur de la symphonie de la vie.
Princesse suprême, rejoins mon jardin légendaire du dragon céleste, avec moi, ta vie sera au-delà du réel.
Montons sur les bras de l’épicéa, dans un cocon d’union à la perfection.
Dans les branches étoilées de l’empereur du jardin, l’éclat de lumière du soleil rebondit dans le miroir de l’eau jusqu’à nos yeux illuminés.
Entre ciel et terre, la réunion de Kung-fu volant aguichant est séduisante.
Ensuite, se rafraîchir dans l’écume de la chute d’eau, sur les cailloux et gravières au milieu de douces mousses et fleurs.
S’asseoir ensuite en pose détente sous le toit à la chinoise en admirant le divin jardin.
La nuit, je dors à côté de mon étoile qui scintille dans mon cœur.

Sylvain Meili (28 septembre 2023 : n°34)

L’or impérial

L’or est la lumière dans la dureté.

La sagesse est d’or.
L’or brille comme l’éternel trésor.
Il sert à décorer et fabriquer des objets et des machines.
Malléable comme une feuille fine.
Si l’or est bien utilisé,
il est la grandeur incarnée,
sinon c’est l’or qui ment, qui fait choir,
une duperie illusoire.

L’ornement est la vérité de l’éminente élévation de l’équilibre.
C’est l’empereur des métaux.

Sylvain Meili (7 juin 2024 : n°35)

Le dragon Chinois

Le grand dragon est la Chine dont chaque personne est une écaille.
Le rôle de l’empereur est de les faire briller toutes, placées de la façon la plus harmonieuse.
Il est symbolisé dans la légendaire muraille de l’empire du milieu.
L’esprit du dragon Chinois passe à travers les dimensions, il nous fait parfois un signe en paréidolie dans la forme d’un arbre ou d’un nuage.
Le dragon danse dans les cieux et danse dans l’art déguisé acrobatique des artistes.
Il vole en cerfs-volants.
Il est une décoration de divers objets, sur les toits antiques, autour de colonnes, de ponts et le long de chemins montant dans les pics de montagne.

Sylvain Meili (7 juin 2024 : n°36)

Poèmes chansons

Hymne de la victoire de la Terre
Libertés d’un monde meilleur

C’est les libertés d’un monde meilleur.
Dans les changements épiques, des gens courageux, des trouveurs de secrets et de miracles ont bravé la pensée générale pour les amener au sommet.
Pour libérer les inconscients qui tombent et tournent en rond.
Aidé par nos amis de l’univers.
Le lourd pouvoir éphémère s’en va, et vient de plus en plus la bienveillance des sages.
Des inventeurs de nouvelles idées pour les élever tous dans la vraie richesse.
La diversité partagée de toutes les bonnes choses, les arts, les loisirs, les connaissances, de la sagesse auprès de la nature restaurée.
La lumière revient.
Le bien et la vérité est rétablit.
Revenir vers la douce source.
Chacun sa place pour l’harmonie.
Les grands rêves deviennent réalité.
Reconnaissances et gratitudes pour toutes les belles choses de la vie.

Sylvain Meili (7 juin 2024 : n°37)

Vacances utopiques au jardin

Chaque matin, je me lève au jardin des grandeurs,
où la vie m’englobe, cette vie que j’admire.
La montagne est magique quand les sages l’habite,
et que la beauté céleste est à mes côtés.
L’eau chantonne et déverse ses bulles de bonheur,
au milieu où se rassemble le meilleur.
Les éclats du prodige aux talents façonneurs,
sont le retour célébré de la nature.
Tous les jours sont la parade d’un monde,
on n’est pas seul, on est tranquille.
Des petits coins de douceurs aux diverses saveurs,
une pose pour une ambiance.
A la fin de la journée,
l’animation de nuit de la nature continue.

Sylvain Meili (12 octobre 2024 : n°38)

Le monde fantastique enchanté

Au-delà de la brume et plus fort que la nuit,
s'ouvre la grandeur des secrets pour sublimer le jour.
L'appel des coeurs à la symphonie de la vertu,
pour traverser les chemins vers le sublime.
Au détour du divin qui nous invite à la joie,
ce monde éblouissant à la nature de légende.
Le beau et les belles compagnies,
sont un défilement porté par l’enchantement.
On se sent léger,
au milieu des belles pensées.
Plongé dans l’élégance,
de l’excellence.
C’est l’harmonie de formes créées,
par les esprits les plus éclairés.

Sylvain Meili (19 décembre 2024 : n°39)


La beauté magique

L’aventure est chatoyance,
avec ses charmantes lumières de réjouissance.
C’est l’ascension surnaturelle,
qui nous plonge dans ses merveilles.
Ses mystères et ses superbes courbes m’anime,
me fait sauter du haut des cimes.
Ses belles profondeurs joliment décorées,
me fait entrer dans des sensations passionnées.
Sources cristallines et écumes argentées,
douceurs, délices et vélocités.
Elle accompagne ma vie,
pour me parsemer d’émotions assouvies.
Ensemble pour élaborer les habits,
du futur de nos cœurs ébahis.
Dévoile-moi tous tes beaux secrets,
et ça sera parfait.
Elle est si belle et magnifique,
la montagne magique.

Sylvain Meili (3 février 2025 : n°40)

La montagne magique

(Titre de fin : poème à double titre...).

Je parle dans ce poème de la femme et de la montagne en même temps.

Nos amis de l’univers

Vers la fraternité des planètes unies.
L’espoir de voir la nuit qui tombe pour surgir dans la lumière.
Au carrefour des croyances illusoires qui s’agitent au refus de voir l’évidence.
A l’espoir qui sommeille pour transcender dans la symphonie des héros.
Les éclats des combats obligés deviennent les éclats de la fête qui s’agite dans nos cœurs, la basse brume devient des ailes accomplies.
La victoire avec nos amis de l’univers.
L’amitié grandit.

Sylvain Meili (1 novembre 2025 : n°41)

Les facettes de la poésie

Un merveilleux poème est
le chemin de l’inspiration sensuelle.

une goutte vibrante dans la pétillante cascade.
une fleur flottante sur l’eau cristalline.
un pétale dans le vent.
un bonsaï de grâces dans ses méandres de vigueur.
une feuille craquante d’automne.
l’unisson des notes lévitant dans l’extase musicale.
la bougie de l’aspiration cosmique des mondes.
la touche déguisée jouant dans ses métamorphoses éternelles.

Sylvain Meili (1 novembre  2025 : n°42)

L’exploration cosmique

La flotte spatiale de la Terre, alliée de la fédération galactique.
Explorant entre les scintillements des étoiles mystérieuses.
Echangeant leurs cultures dans l’enrichissement réciproque.
Le vaisseau saute de planète en planète comme des bulles de pensées d’étonnements et d’admirations.
Certains mondes sont hostiles à la vie et paraissent vides, d’autres sont attrayants ou remplis de vie encore primaire.
Armer ses vaisseaux est la touche de sureté dans la découverte vers l’inconnu.
Des pirates de l’espace peuvent surgir ou d’autres peuvent démarrer les hostilités pour intrusion sur leur espace acquis.
L’engagement vers le mystère amène aussi à la bienveillance des rencontres avec une nouvelle civilisation.
Agrandir la fraternité, pas son empire, agrandir l’alliance pour la protection et la richesse mutuelle.
Archiver les savoirs, les Cultures et les beautés.
Glisser dans l’espace pour la prospérité du futur.

Sylvain Meili (1 novembre 2025 : n°43)

 

L'infini cercle de la vie

Je suis :
la lumière dans l'étreinte du silence fulgurant du néant.  
l'onde du chant, extase divine. 
le bonsaï, enseignant de la vie. 
l'indépendant traceur de mon avenir.
le changement qui transcende la vie chamboulée. 
le goûteur de mes 5 sens dans le grand mythe. 

le créateur des richesses infinies.
le collectionneur de toutes les beautés de l'existence.

Les passions, exaltées par les surprises de la vie, tournoient en de nouvelles constellations d'histoires.

Sylvain Meili (8 novembre 2025 : n°44)

L’empereur de chine au paradis central

J’apporte mes idées.
1121 proverbes intemporels,
46 poèmes pour améliorer le ciel.
le jardin Genyue de la beauté.

La toupie éternelle des dragons impériaux asiatiques voyageurs,
célèbre tous les anciens combats.
Je contrôle enfin l’ombre comme un ninja,
mes pensées lévitant dans la maîtrise de l’esprit intérieur.

Comme un nuage à bulles de pensées,
je savoure la glace sous les rayons de la lumière.
A mes côtés, l’impératrice en tenue légère,
dans ces belles pauses du goûter, les fraîcheurs vanilles et chocolats sont savourées.  

Si je suis au paradis local, j’envoie un émissaire.
Si j’arrive un jour au paradis central, je présente mes sollicitations.
Un lecteur céleste inspiré de mes idées captera peut-être l’admission.
Sauver le plus de consciences avant qu’une ne se perde pour l’éternité, c’est ce qu’il faut faire.

La montagne de proverbes, sera-t-elle assez haute pour réformer les univers ?

Sylvain Meili (9 novembre 2025 : n°45)

Le spectacle alchimique impérial

Je suis :

le tonnerre rouge des sceaux qui saute la haie.  
le chatouilleur agitant la danse du drôle sautilleur.
le météore du chaînon d'or. 
le grand empereur des roches de fleurs.
l’extase en bulles de nuages. 
la brume qui se protège.
la beauté salvatrice arroseuse, lustrant la pierre.

aussi la paréidolie dans le miroir du fou,
l'illusion qui n'est pas dans son monde.

Je suis un temps, 
au-delà des vérités des bornés, coincés en herbes molles.

Je suis : 
la revanche, en étincelles de génies.
l’artificier du changement cosmique.
le découvreur d’écumes magiques.  
la perle de l’écho frémissant de l’absurde. 
l'ombre pleine invisible.

Je suis l'alchimiste qui joue avec le petit chat, aguiché par mes agissements,
et le monde est jeu de séduction.

Sylvain Meili (10 novembre 2025 : n°46)

La dynastie Song

Le jardin impérial Genyue

Représenter le rêve : un aperçu du paradis, et les relier par la porte des deux mondes.
Sous les 4 saisons tournoyantes de la nature, de la beauté des éléments de l’eau miroitante, la terre nourricière, des minéraux qui élèvent la montagne et la vie, les végétaux qui habillent le monde, les animaux qui nous accompagnent et des hommes et femmes qui sont les plus grands créateurs.

Au nord est de la cité impérial de 2km2 est le songe idéalisé.
Le tour extérieur est de plus de 3 km, environ 50 ha, plus long de 2 fois la largeur vers le nord.

Le plus haut pic du grand envol Lifēng est surmonté d’un pavillon à 2 étages, octogonal au toit vert, colonnes rouges et rambardes en marbre blanc. 4 portes des 4 directions.
108 pics qui sont comme des princesses admirées,
et comme des princes pour les filles éblouies.
Des milliers de pierres mystérieuses parsementent le parcours,
à la complexité des formes les plus fantastiques.

Un sentier clair sculpté de pavés, avec des barrières et poteaux sensuels,
accompagné de divers lanternes perchées et suspendues, finit en pic sur le portique de l’entrée du ciel.
L’empereur inventa les sacs à nuages en soie huilé d’eau,
captés des montagnes avoisinantes pour être ramenés en cadeau.
Au jardin, au passage de l’empereur et des demoiselles, la brume est lâchée,
et le monde paraît démultiplié.
En grimpant en haut du sommet, s’étale un monde dans les nuages,
les oiseaux les traverse dans leurs jolis plumages.
Le concert de l’empereur résonne et traverse les vapeurs flottantes,
les rochers surnaturels s’unissent dans leur corps d’alvéoles vibrantes.
La vue plonge sur toute la ville, ses jardins, et étangs aux ponts perchés,
ses murailles, ses pagodes et le grand temple impérial doré.

Un martin pêcheur regarde la chute d’eau du ruisseau sur son perchoir de rocher dressé.
Des chemins serpentent entre les étangs surmontés par des ponts arqués de pierres.
Les rochers de fleurs de pierres sont au cheminement d’un musée vivant.
Le rocher dragon en est le plus étincelant.
Les nénuphars blancs sont le plongeoir des grenouilles vertes, certaines se cachent dans les roseaux.
L’eau claire abrite de jolis poissons sur un monde de cailloux, gravières et montagnes aquatiques.
Lors d’hivers très froids, la glace s’habille de bulles, de fils et disques de bulles formant parfois des nuages de milliers de perles d’eau, les fleurs de glaces qui poussent à partir des graines ailées tombés du charme sur le sommet sont comme les temples qui dépassent des nuages du monde aquatique.
Double douceur avec un coin de mousses visité par un chat tigré au bord de l’eau.

Le saule étale ses cheveux devant le bambou et l’arbre tortillard.
Une glycine violette est mariée avec le prunier.
Le lierre, les boules de gui dans les arbres et le houx de boules rouges, sont toujours verts en hiver pour nous réconforter.
Un gros tronc mort reçoit dans un creux une plante fleurie.
Un arbre multicentenaire est escaladé par un écureuil.

Le cerisier rose explose sur le ciel bleu.
La chouette d’un peuplier, curieuse d’un bruit se découvre à l’ancien gîte du pic.
L’épicéa dragon qui caresse l’herbe reçoit la visite des enfants.
Des pins s’accrochent aux falaises et un se pose comme un bonsaï au bord de l’eau.

Des grottes ornées de stalactites ou de pierres précieuses pour se rafraîchir.
Un pavillon au bord de l’étang pour se détendre devant la vue sur l’île du petit Genyue.

La vie défile au grès des saisons et des lumières,
dans d’incessantes nuances de couleurs et de sensations.

Genyue est le croisement des créatures et des dieux,
au sein de l’ascension vers les immortels.

Sylvain Meili (12 novembre 2025 : n°47)

Education de la famille

Mériter sa place, c’est faire honneur en contribuant assez au service national.
Que les rayons de tes actions établissent la roue de la clarté.
Lire pour se cultiver de toutes les connaissances du monde.
Que les idées soient sagesse et efficacité, les ailes radiantes de tes passages.
Essayer de nombreux sports et maintenir sa vivacité.
Que l’amusement soit aussi force de vitalité comme une écume de perles.
Edifier le bien-être des sens, des émotions étoilées.
Que les arts et les beautés inspirent, vivent et soient le torrent d’argent qui polissent les bijoux de la vie.

L’éventail de la vie s’ouvre et se referme, il rafraîchit des excès,
déploie ses talents et ses beautés, est une arme, une défense. 

L’équilibre est la voie du juste cercle rayonnant de ses atouts.

Sylvain Meili (11 novembre 2025 : n°48)

Vacance des enfants à la fête
des sports du lac Jinming

(Inspiré de faits historiques autour de 1120 : fête du lac Jinming)

L’aurore se lève sur les toits d’or du palais impérial,
la grande fête de l’année va commencer, et être au meilleur de son énergie sera vital.

Les enfants sont réveillés à l’aube à 5h30, 3 tintements de clochette en bronze par l’eunuque.
Ouverture du rideau de soie « La fête des dragons commence. »
C’est l’heure de la toilette, eau tiède parfumée aux pétales de lotus dans un bassin de porcelaine ru.
Bien coiffé, épingle en jade pour les garçons et fleurs de pivoine tissé en soie et jade pour les filles.
Pour 6h, sur la table en bois de rose est servi 2 zongzi de riz salés de haricots rouges et jaune d’oeuf de cane enroulé en feuilles de roseau.
1 bol de thé au chrysanthème dans une tasse en porcelaine ding.
Pendant ce temps, le défilé militaire en musique a lieu au grand lac Jinming avec des danseurs en costumes d’animaux.
A 6h45, dans la cour intérieure (Neiyuan), les garçons jouent à des jeux de société, échecs (
xiàngqí) et  jeu de Go (Wéiqí), les filles se balancent sur une balançoire en bambou.
A 6h45, 10 palanquins dorés à rideaux de gaze rouge avec 2 ou 3 enfants quittent la porte nord du palais.
Les tambours des militaires retentissent au loin.
De 7h à 8h30, démonstration de cavalerie et tir à l’arc à cheval, les eunuques et les filles du palais dansent avec un éventail.  
A 8h30, tournoi de tir à l’arc sur la place des arcades, cible de 30cm de diamètre à 105 mètres : cœur 10 cm à 3 points, 20cm : 1pts.
Le vainqueur reçoit par l’empereur 800 taels d’argent, une ceinture de jade et un grade militaire.
Vers 10h, Huizong arrive au terrain de cuju (football) de Jinming chi en palanquin doré porté par 12 hommes, les enfants agitent les drapeaux rouges sous la musique de 20 tambours et de 10 flûtes.
A 10h, tournoi de football, 16 équipes, les enfants parient des bonbons de riz.
Le 1er match d’ouverture, (Cuju : ballon de 27 cm environ) commence, équipe de 12 joueurs : impériale en rouge contre les eunuques en bleu, (le ballon en cuir est rempli de plumes de poules blanches).
Les rouges mettent le but dans le cercle en l’air 3 fois contre 1 pour les bleus.
Les vainqueurs reçoivent 100 à 200 taels d’argent et le capitaine 500 taels et une ceinture d’argent plaquée or.

1 heure de pause pour manger à 11h30, nouilles de longévité et canard laqué plus litchi. Grand spectacle de danse et de théâtre sur l’eau avec des barques décorées sur fond de musique.

A 12h30, championnat de lutte professionnel, le gagnant reçoit 1000 taels d’argent, un cheval scellé avec harnais d’argent.
A 14h30, devant des dizaines de milliers de spectateurs, grande course des 20 bateaux dragons de 20m de long avec environ 50 rameurs, le gong sonne pour 1 km de course. 3000 taels d’argents donnés au 1er équipage et 500 pour le batteur.
Il s’ensuit la dance des radeaux fleuris de jeunes femmes.
Ensuite à 15h30, les enfants vont au jardin Neiyuan, jouent au ballon, cache-cache, des filles cueillent des pivoines.
Pendant ce temps se déroulent du polo à dos d’âne et de chameau puis des démonstrations d’armes et concours de force de lever de pierre jusqu’à 19h.
A 16h30, ils vont à la salle de musique écouter le guzheng, ils chantent en cœur.
Pour 17h15, à la cour des eunuques, ils reprennent du riz gluant, un lait de soja sucré.
Pour 18 h, à la salle à manger : soupe de vermicelle au poulet, jujubes séchés.

Il fait nuit à 19h, en soirée, les enfants lâchent des lanternes flottantes en forme de poissons, dragons et phénix, suivi d’une transition musicale de tambours et de flûtes.
Une demi-heure de feu d’artifice au dessus de l’eau éclate en gerbes vertes et rouges, spirales dorées, pétales en papier enflammés, étoile filante.
L’énorme bombe finale qui éclate en trois étages successifs : or → rouge → pluie de perles blanches.

Retour dans la chambre princière, l’histoire du dragon du lac Jinming est lue, la lanterne dragon allumée.
Ensuite, ils sont couchés sous le rideau de soie.

La nuit s’est installée sous la lune, le Genyue veille,
les aventures continuent dans les rêves du ciel.

Sylvain Meili (14 novembre 2025 : n°49)

Rocher dragon et fleurs de pierres

Ils sont les bonsaïs de la roche.

Des dentelles de pierres enchantant la balade,
où l’eau se déverse en fastes cascades.
Les trous sont des œuvres qui nous comblent d’admiration,
le mystère semble ne jamais être percé à ces champions.
Les pierres sont des fleurs dont chaque trou est un pétale,
ils semblent être plusieurs dimensions d’un monde abyssal.
Le rocher dragon se dresse en beauté de mille vertus,
un monde de paysages où chaque regard inspiré est bienvenu.
Sous les rayons perçant du soleil,
la lumière des cailloux joue un festival de merveilles.

Les pierres de fleurs racontent le long voyage de leur vie,
où chaque bosse, trou et froissement sont une qualité.
Le vent est une caresse et la roche chante.

Sylvain Meili (11 novembre 2025 : n°50)

18 jeux et sports chinois

Le temps de commémoration des sports et des jeux est arrivé,
Garder la voie de l’intuition et se relier au tout avec fermeté.

Commençons par des jeux de stratégie,
pour inspirer le planning de la vie.

Le jeu de Go consiste à partir à l’assaut de son adversaire en gérant bien son plateau.
Aux échecs, il faut savoir se mouiller pour bien finir au sec.

Passons à l’action,
des plus belles passions.

Au golf, Sois toi-même le vent pour garder ta coiffe.
Au polo à cheval, manie bien le bâton vers la balle dans le trou en conduisant comme un pro.
A la lutte, n’agis pas seulement comme une brute, il faut que tu le scrute.
A l’escalade, sois souple, fort et rapide, pas le temps de la balade ni d’une cascade, vas plus vite que si tu t’évades.
Au lancé de pierres, il faut viser le piquet où l’animal en bois, soit tu gagnes, soit tu perds.
Au lancé de flèches, 12 flèches en 3 ou 5 manches à environ 2m pour viser le col du vase en bronze, 1 à 3 points selon si tu fais au fond bonne pêche.
Au lancer de lances dans l’entrainnement militaire à pieds ou à cheval, 30 cm de cible en bois, sois fort et précis pour être dans le meilleur sens.
Au tir à la corde, jusqu’à 100 à 1000 personnes dos à dos lors de grandes fêtes, après 3 manches gagnantes, on saura les gagnants de la bonne bande.
A la course de bateaux dragon, des barques de 25 à 30m avec des dizaines de rameurs sur environ 1km, victoire à ceux qui auront le plus grand souffle et la plus grande force du dragon.
Au tir à l’arc, à toi d’être le champion du grand parc.
Au tir à l’arc à cheval, vise bien et ne tombe pas où tu vas finir sale.
Au cerf-volant, de bambou en soie ou papier, le but compétitif est de rompre le fil de son adversaire, soit volant ou soit trébuchant.
A la toupie, celui qui l’a fait tourner le plus longtemps gagne la partie.
Au Kung-fu, ton corps est le meilleur joujou.
Au jeu du volant, il suffit de jongler le plus de fois en étant agile et endurant.
Au bowling, 15 quilles en carré avec des mots de vertus), si le compte y est, tu as fait un perfect bing.

A la dynastie de la chanson,
résonne la musique qui fait battre le son des sports dans les plus grands frissons.

Sylvain Meili (12 novembre 2025 : n°51)

Divine chine impériale

Peuple du milieu,
où diversités émérites reflètent les cieux.
Ses habiletés sont nombreuses,
et ses œuvres fameuses.
Tous une écaille du grand dragon sacré,
comme chaque brique est la grande muraille adorée.
Le Kung-fu se balance et saute comme des montagnes divines,
dont la sagesse est le nuage de caresses sur les cimes.
Les forêts de pics de
Zhāngjiājiè,
sont des échelons d’envolés.

Les temples perchés avec leurs toits arqués,  
semblent tenir leurs bras vers la complétude d’un monde idéalisé.
Les pagodes sont l’échelle de l’ascension,
dont chaque palier rapproche de la compréhension.
Les cavernes, les plongeons lumineux de la voute céleste,
des sanctuaires transpercés où les secrets immaculés se manifestent.
Les plus beaux jardins sont un micro cosmos de la globalité,
le rendez-vous résumé de toute la créativité.
Des racines jusqu’aux nuages,
les rochers de fleurs de pierre sont le mariage.
Les costumes divers du commun, princes ou guerriers,
vont de l’élégance à la sophistication admirée.
Du gong à la musique féérique,
de l’éclat transcendantal à la mélodie épique.
Le feu d’artifice clôt la représentation,
dans les plus belles étincelles et éclairs de son.

La Chine est le summum de l’inspiration,
dans le paradis des beautés de la perfection.

Sylvain Meili (12 novembre 2025 : n°52)

La forêt impériale des pics Song

Première forêt sous le ciel,
qui est sans pareil.
Forêt des trois montagnes aux trois niveaux de pics,
les unes derrière les autres forment une mosaïque.
Les escaliers qui grimpent sont les colliers,
dont les temples sont les bijoux ailés.

Les pins dandinent sur les falaises aiguës,
avec leurs branches, ils font la pause Kung-fu joliment tordue.
Quand la brume innonde les pics par milliers,
c’est l’illusion d’îles flottantes qui paraîssent s’envoler.
Saules pleureurs, bambou, et arbres centenaires,
accompagnent les cascades d’eau claire.
Les ponts arqués en pierre sont les demi-couronnes,
qui à leurs vues apaisent les personnes.
L’épicéa dragon au fond du milieu du pré,
est l’empereur à grimper de la vallée.
Les centaines de grottes sont le paradis inversé,
lac, cascades résonnantes, forêts de colonnes souvrent à la grandeur de l’entrée ensoleillée.
Le pavillon impérial du jardin d’été, est le grand frère du nénuphar blanc,
tel une grande fleur fraternelle au colori rayonnant.

Sylvain Meili (12 novembre 2025 : n°53)

Empereur Huizong (Song)

Harmoniser les vibrantes notes du monde.
Unir les Cultures dans le partage mutuel.
Illuminer les arts de la patrie jusqu’aux pics retenant des nuages de talent.
Zénith des rêves accomplis par la persévérance.
Organiser l’équilibre des richesses comme un nénuphar.
Nourrir la sagesse, l’eau claire bousculée par le pain tombant est l’onde de choc inspiratrice, donner au poisson et récolter les décorations.
Goûter le bonheur sans renier les problèmes.

Sylvain Meili (11 novembre 2025 : n°54)

Double dragon

Une journée au jardin des arts.

5 princesses pour 5 arts.
La première est la poétesse, elle écrit un poème d’idoles du jour à l’encrier en jade.
La seconde joue du guzheng de ses doigtés féériques.
La troisième chante et fait frissonner la cascade.
La quatrième danse et le vent s’incline en admiration.
La cinquième dessine la mémoire des cœurs heureux.

A la fin de la musique, la première dévoile son nouveau poème.
Le rocher dragon parait sourire, mais ce n’est qu’un rayon qui passe à travers ses écailles.

La vie est célébrée dans tous ses arts,
et le jardin vibre à l’unisson.

Sylvain Meili (13 novembre 2025, n°55)


55 poèmes codés

10 types de poème (dont 3 inventions).
Acrostiche : poème n°33, 54.
Anaphore : poème n°12, 14, 32, 46, 48, 55.
Dialogue (avec rimes suivies) : poème n°11.
Prose : poème (sans rimes) n°7, 8, 13, 24, 25, 29, 30, 31, 34, 36, 37, 38, 39, 41, 42, 43, 47.
Rime continue : 26.
Rime suivie : poème n°1, 2, 3, 6, 9, 10, 11, 12, 15, 16, 17, 19, 20, 21, 23, 27, 28, 35, 40, 47, 50, 52, 53.
Rime embrassée : 45
Double rime : mon invention, je mets la même rime en début et fin de vers (Le Kung-fu légendaire), poème n°18 et 51.
Poème impérial : mon invention, il reprend au moins un mot du titre d’un ensemble de poèmes : (Métaphore du cycle de la vie), poème n°22 sur les poèmes 1 à 14.
Rime des dragons chinois : mon invention, 181, répétition de la même lettre 8 fois (S) après un seul vers de début et avant un seul vers de fin (La beauté asiatique), poème n°5. Les deux 1 symbolisent l’homme et la femme.

Poèmes par année
Chaque poème est codé par son chiffre et a un peu de leçon philosophique.
2014. (1), 8 : Le jardin parfait ne peut se séparer de sa montagne.
2019. (7), 3 : La truite fario, 4 : Le chat parfait, 5 : La beauté asiatique, 7 : Songes des huit dragons du jardin de l’empereur, 12 : Education, 13 : Une journée idéale en famille, 14 : La mort, le renouveau dans l’au-delà et les 4 saisons.
2020. (11), 1 : Ma petite rivière, 2 : Belles chutes d’eau, 6 : Forêt impériale, 9 : Empereur pour princesse ?, 10 : La victoire retrouvée, 11 : Joute de poèmes de deux fidèles, 15 : Poème d’un empereur à sa déesse, 16 : Poème d’une déesse à son empereur 17 : Divine Chine, 18 : Le Kung-fu légendaire, 22 : Métaphore du cycle de la vie.
2021. (3), 19 : Divine Corée, 20 : Divin Japon, 21 Divine France.
2022. (6), 23 : Divin Vietnam (22 et 23/02), 24 : L’épicéa impérial dans son pré (09/11), 26 : Bambou impérial (13/11), 27 : Promenade avec sa divine (17/11), 28 : Partenaires de vie (19/11), 33 : L’empereur Sylvain (03/11).
2023. (6), 25 : Noël sous la neige (02/07), 31 : Cueillir la beauté des saisons : printemps, été, automne, hiver (12/07), 29 : Les jolis oiseaux du village (13/07), 30 : La maison en pierres (13/07), 32 : L’eau vivante (16/07), 34 : Le duo des merveilles (28/09).
2024. (5), 35 : L’or impérial (07/06), 36 : Le dragon Chinois (07/06), 37 : Hymne de la victoire de la Terre, Libertés d’un monde meilleur (07/06). 38 : Vacances utopiques au jardin (12/10), 39 : Le monde fantastique enchanté (19/12).
2025. (16), 40 : La beauté magique (03/02), 41 : Nos amis de l’univers (01/11), 42 : Les facettes de la poésie (01/11), 43 : L’exploration cosmique (01/11), 44 : L’infini du cercle de la vie (08/11), 45 : L’empereur de chine au paradis central (09/11). 46 : Le spectacle alchimique impérial (10/11), 47 : Le jardin impérial Genyue (12/11), 48 : Education de la famille (11/11), 49 : Vacance des enfants à la fête des sports du lac Jinming (14/11), 50 : Rocher dragon et fleurs de pierres (11/11),  51 : 18 jeux et sports chinois (15/11), 52 : Divine chine impériale (12/11), 53 : La forêt impériale des pics song (12/11), 54 : Empereur Huizong (11/11), 55 : Double dragon (13/11)

Nombre de poème par année :
2014 : 1, 2019 : 7, 2020 : 11, 2021 : 3, 2022 : 6, 2023 : 6, 2024 : 5, 2025 : 16.
Une montagne de poésie qui finit en pic.
Entre le Mont Saint-Michel et la montagne Meili.

Poèmes
Plus de mille lignes de poésie.
La plupart des lieux (rivière, village, maison, montagne…) et personnes dans les poèmes sont fictifs sauf les poèmes sur les pays.

Poèmes 17 à 23
17 à 23 fait 7 chiffres différents.
Les titres et numéros des poèmes 17 à 23 sont la métaphore de la bataille pour transformer les forces du mal à la victoire de l’harmonie/l’amour.
17 : dieu, 18 : le combat (Kung-fu), 19 : pour arrêter le danger de l’intelligence artificielle, 20 : la vague de virus et les méchants, 21 : l’amour, 22 dévoile ce qui est caché, 23 : réunir les dragons pour le nirvana, les merveilles, l’amour (code VIETNAM).

Le jardin parfait ne peux se séparer de sa montagne
Il peut se rapprocher de la perfection au niveau des nuances des beautés des saisons mais le froid de l’hiver fait souffrir, surtout les animaux.

La mort, le renouveau dans l’au-delà et les 4 saisons
Le passage dans l’au-delà est censé être un tunnel (pas toujours le cas), pas une porte mais c’est une métaphore que j’ai utilisé pour mon poème (voir décodage des 23 poèmes).

Divin Japon
Il a été entièrement réalisé en écoutant le groupe japonais C-ute, album Queen of Jpop, chanson n°8 (Aitai Aitai Aitai na)  en premier, sortie en 2013.

Divin Vietnam
La dernière phrase reprend les premières lettres du mot Vietnam :
Vie Illuminée Et Toujours Nirvana Avec Merveilles (c’est le souhait).
2+3=5 (dernier couple de dragon pour finir les poèmes).
Dans Vietnam, il y a le son de vie et de âme.

Métaphore du cycle de la vie
Si l’on compte cette introduction qui reprend des mots de tous les titres des poèmes 1 à 14, cela fait le 22ème poème caché.
2+2=4 (4ème dimension).
Dévoilement des vérités qui sont cachées.

Divine Chine

Seule la Chine a 3 poèmes avec Le Kung-fu légendaire et Le dragon Chinois.
J’ai rajouté à Divine Chine les rimes que j’ai déjà utilisées pour Divin Vietnam pour qu’il soit plus proche de la perfection.
Les montagnes dansent et sautent dans les nuages,
et nous ravissent avec leurs temples qui subliment le paysage.

Divine France
J’ai presque retiré les passages sur les fromages mais j’espère qu’un jour cela sera un produit que l’on fera sans maltraitance animal et sans tuer (voir proverbe 880).

L’épicéa commun
Pour la Chine, son cousin le picea asperata sera l’épicéa impérial.

Le monde fantastique enchanté
Réalisé en écoutant le chanteur Chinois Hu Ge Nirvana in fire ost, When the wind blows (2015).

Le dragon Chinois
2024 : l’année du dragon Chinois de bois

2+2+4=8 (arbre : 3 arbres en paréidolies de dragon, double dragon).
5 poèmes réalisés pour l’année du dragon, 5 comme dragon.

5 pays
Chine, Japon, Corée, Vietnam, France (dragon européen différent de l’asiatique).
Le chiffre du dragon : 5.

8 dragons
C’est surtout une interprétation artistique.
2 dragons rouges de l’est : Japon
2 dragons jaunes de l’ouest : Chine, le dragon d’or est le 9ème dragon qui est l’empereur de l’empire du milieu ou peut être l’empereur du Japon ou le président d’un pays asiatique.
2 dragons bleus du nord : Corée (inclus la Mongolie)
2 dragons verts du sud : Vietnam (inclus aussi les autres pays d’Asie du sud : Thaïlande, Myanmar, Laos, Cambodge, Malaisie, Philippines, Indonésie, Brunei, Népal, Bhoutan).

 

Song Huizong (empereur de chine)
Song Huizong (Zhao Ji : 50+19=69), 05/05/1082 mais sa date de naissance a peut-être été changé pour le 02/11/1082-04/06/1135, règne : 08/02/1100-18/01/1126, poète, peintre, inventeur de la calligraphie fine d’or, écrivain : traité sur le thé blanc, paysagiste : c’était le plus beau jardin (Genyue) du monde construit pendant son règne dans la plus belle cité impériale chinoise, musicien… D’après la légende qui est la vérité, il est la réincarnation du roi Tang du sud Li Houzhu, son père a vu son portrait où il était en voyage et sa mère avait rêvé aussi de lui le jour de son accouchement,), Sylvain Meili (
sēnlín měilì) veut aussi dire beauté de la forêt (forêt=88 + explications au début du livre).

宋徽宗 Son nom ressemble en symétrie et densité à 383 (Song : chanson en anglais (caractère=fusion des caractères cabane et bois), 55 en numérologie (double dragon), Hui ((temple, emblème) (ressemble à huit : 8)) zong (MILIEU, ancêtre, école, maître, respecter).

Dualité dans les poèmes
Voici les titres des poèmes où j’évoque ou dénonce la bêtise, ou il y a dualité.
9 : Empereur pour princesse, 37 : hymne de la victoire de la Terre, libertés d’un monde meilleur, 41 : Nos amis de l’univers, 46 : Le spectacle alchimique impérial.

Moujonc
Moujonc est mon invention : l'esprit plus mou qu'un jonc comme une herbe molle, bambou est le maximum.
Mougeon existait avant (mélange entre suiveur de mouton, et idiot de pigeon), je préfère la version qui ne rabaisse pas les animaux.

Décodage des 23 poèmes

Des chiffres symboliques et des chiffres de la somme des lettres des titres des poèmes.

1 : Ma petite rivière. Le 1 est le chemin de la rivière.
2 : Belles chutes d’eau. L’eau qui tombe a la forme d’un 2.
3 : La truite fario. Deux truites courbées ensemble forment un 3.
4 : Le chat parfait. Le chat a 4 pattes. (4)
5 : La beauté asiatique. Le 5 est la métaphore du dragon femelle. (169)
6 : Forêt impériale. Le 6 forme le F et le o qui fusionnent. (8 : un rond pour les racines, un rond pour la boule de l’arbre).
7 : Songes des huit dragons du jardin de l’empereur. Songes est un synonyme de rêve représenté par le r qui est un 7 inversé. (5)
8 : Le jardin parfait ne peut se séparer de sa montagne. Le jardin est gardé par les 8 dragons.
9 : Empereur pour princesse ? Le 9 est le chiffre de l’empereur.  (princesse=108)
10 : La victoire retrouvée. 10 est égal à victoire et perfection.
11 : Joute de poèmes de deux fidèles. Deux personnes est 1+1.
12 : Éducation. 1 enfant + les 2 parents.
13 : Une journée idéale en famille. 1+3=4, une famille de 4.
14 : La mort, le renouveau dans l’au-delà et les 4 saisons.
Le passage de 1 personne dans la porte de l’au-delà formée de 4 côtés.
15 : Poème d’une déesse à son empereur. 5 est le dragon femelle.
16 : Poème d’un empereur à sa déesse. 6 est l’homme, 9 serait pour la femme.
17 : Divine Chine. 1+7=8, les 8 dragons qui gardent la chine. (63+39 : pile+face=33 : couple et 69 : homme et femme.
18 : Le Kung-fu légendaire. Les 18 armes légendaires du Kung-fu. (177=15= un dragon)
19 : Divin Japon. Artificielle Intelligence=19 (robots du japon).(6 juin 2021)
20 : Divine Corée. 20 : la première lettre est le v comme vague de la Culture coréenne. (11/12 juin 2021)
21 : Divine France. 21= aimer toi (pays de naissance), (120 : inversé 021). (16 juin 2021)
22 : Métaphore du cycle de la vie. 2+2=4 : (poème caché), 4ème dimension.
23 : Divin Vietnam. 2+3=5 : dernier dragon réuni avec les 3 autres. Souhait : code VIETNAM : Vie Et Toujours Nirvana Avec Merveilles. 5ème dimension.

Sylvain Meili

                            

En faisant la symétrie, en arrondissant les traits à partir de 2019, cela fait un chapeau chinois rond horizontal à dôme circulaire.

Chapeau l’artiste

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